Ambré, doré, les bulles dansent
encore une fois, dans son errance
Il fuit sa vile vérité
Oh salvatrice cécité.
Comptoir d'étain, tâches de bile
Espoir déteint, mourant viril
S'amourachant de ses mirages
De vieux bonheurs de nécrophage
Parfois croyant que c'est fini
Que noire dame l'a enfin pris
Sombres réveils au caniveau
Le poussent au goulot de nouveau
Préférant scotch à l'eau de rose
Son foie n'aspire qu'à la cirrhose
Fin de sa haine, de son amour
Pour le monde et ce qui l'entoure
Pas plus de passé qu'avenir
Pas plus de douleur que plaisir
Tard au comptoir, regard hagard
De l'homme seul qui s'aime à boire.
encore une fois, dans son errance
Il fuit sa vile vérité
Oh salvatrice cécité.
Comptoir d'étain, tâches de bile
Espoir déteint, mourant viril
S'amourachant de ses mirages
De vieux bonheurs de nécrophage
Parfois croyant que c'est fini
Que noire dame l'a enfin pris
Sombres réveils au caniveau
Le poussent au goulot de nouveau
Préférant scotch à l'eau de rose
Son foie n'aspire qu'à la cirrhose
Fin de sa haine, de son amour
Pour le monde et ce qui l'entoure
Pas plus de passé qu'avenir
Pas plus de douleur que plaisir
Tard au comptoir, regard hagard
De l'homme seul qui s'aime à boire.